Étape 1 : étude et planification du projet

Définissez le but de votre projet et les objectifs que vous souhaitez atteindre. Posez-vous ces deux questions : quel est le but principal de votre projet ? À quoi sert-il et que voulez-vous accomplir ? Concernant les objectifs, déterminez-les en vous appuyant sur le concept SMART : fixez des objectifs Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis.

Faites une analyse du marché et de la concurrence. Vous devez savoir qui sont vos concurrents. Ensuite, déterminez, du moins approximativement, les besoins et les désirs de vos cibles (clients potentiels).

Enfin, vous devez garder à l’esprit que le produit ou le service que vous comptez développer doit être unique et être le meilleur sur le marché. Par conséquent, réfléchissez à la manière d’arriver à ces deux spécificités. Si votre projet porte sur l’ouverture d’une filiale, cette dernière doit séduire le public.

Établissez un planning détaillé qui présente chaque étape du projet. Utilisez le diagramme de Gantt pour estimer les délais. Déterminez le budget que vous êtes en mesure de consacrer à ce projet. Faites la liste des sources de financement envisageable. Si nécessaire, contactez des banques et des investisseurs. Enfin, anticipez les risques potentiels et mettez en place des stratégies pour les réduire, voire les supprimer.

Étape 2 : Mise en place et développement du projet

Commencez à recruter le personnel qui va travailler dans votre nouvelle structure ou se consacrer à la commercialisation du projet ou service en cours d’élaboration. Vous pouvez aussi affecter à ce nouveau projet des salariés de votre entreprise si vous estimez qu’ils disposent des compétences nécessaires pour en maîtriser le domaine. Communiquez clairement et constamment avec cette nouvelle équipe.

Investissez dans des outils de contrôle comme les logiciels présentés dans cet article. Un logiciel de gestion de projet coordonne les différentes étapes du projet, crée une communication fluide entre les équipes et permet de faire un suivi des progrès. Un CRM est également indispensable, car il améliore la collaboration entre les équipes de vente, de marketing et de SAV. Dans le même temps, il facilite la gestion des clients et des prospects.

Les produits ou les nouveaux services sont enfin prêts. Avant le lancement officiel, testez votre produit ou service avec un nombre restreint de personnes ou d’entreprises volontaires. Parallèlement, préparez une stratégie de lancement.

Élaborez une stratégie de marketing et communication pour promouvoir votre nouvelle offre. Identifiez les canaux de vente. Commencez à contacter des clients potentiels. Le CRM aura toute son utilité auprès de ce service marketing.

Étape 3 : Gestion du nouveau produit ou service

Faites le suivi de vos ventes. Pour ce faire, créez des indicateurs clé de performance (Key Performance Indicator). Ajustez vos stratégies marketing et commerciales chaque fois que c’est nécessaire. Analysez les avis clientèle pour y identifier des axes d’amélioration de votre nouvelle offre.

Des activités adaptées au management à distance

Pour s’organiser dans le cadre d’un travail à distance, il suffit de faire comme si vous travaillez au bureau. Ne brisez pas vos habitudes de manager. Cependant, vous devez adapter le type d’activité à la situation en cours. En termes de communication par exemple, préférez aller droit au but pour éviter de faire perdre du temps au télétravailleur à l’écran. Mais également, faites en sorte que la relation à distance ne constitue pas un blocage à votre communication. Par ailleurs, redéfinissez les tâches à attribuer à chaque membre de votre équipe ainsi que les objectifs à cibler. Veillez à ce que ces derniers restent dans la limite du raisonnable. Mais également, tenez compte de la situation familiale des employés. En effet, certains sont contraints de gérer à la fois leur travail et leurs enfants durant cette période de crise sanitaire. Ne leur créez pas de stress supplémentaire au risque de nuire vous-même à la productivité de votre équipe.

Une communication optimisée

Un bon manager se soucie principalement de la réussite du travail à distance. À ce titre, il s’assure d’établir une bonne communication avec ses collaborateurs en leur dotant un équipement adéquat au rythme et aux conditions du travail à distance. Le manager définit le type d’outil à utiliser dans ce cas, tel que le téléphone, le mail, Skype ou encore les réseaux sociaux. Il est également en mesure d’organiser des réunions en visioconférence pour effectuer les briefings. En outre, ses outils de suivi doivent être accessibles à tous les membres de son équipe. Étant donné qu’il s’agit d’une collaboration, l’esprit d’équipe doit être entretenu en motivant par exemple les collaborateurs à échanger sur leurs compétences. En bref, l’essentiel est de simplifier l’organisation du télétravail.

,Mais pourquoi définir la raison d’être d’une entreprise ?

Avant de commencer, il est judicieux de définir la notion de raison d’être en entreprise. De manière générale, il s’agit d’une phrase ou un court paragraphe qui explicite la mission que l’entreprise se fixe. Il ne s’agit pas d’un slogan, ni la dénomination, ni un positionnement marketing. La raison d’être vient plutôt redéfinir le rôle de l’entreprise au sein de la société. Pour Google, par exemple, sa raison d’être est « rendre les informations accessibles et utiles à tous ». Grâce à cette notion de raison sociale, les entreprises ne se limitent plus à des acteurs économiques, mais ce sont de véritables piliers sociaux et environnementaux.
En définissant sa raison d’être, une entreprise révise sa stratégie générale. Elle s’interroge et redirige le sens qu’elle donne à son activité ainsi qu’à ses priorités. Mais, elle permet aussi de travailler en symbiose avec les parties prenantes internes comme les responsables des différents services, les représentants des comités de direction générale et les parties prenantes externes. Par conséquent, une raison d’être bien choisie constitue pour l’entreprise un véritable outil stratégique puisqu’elle recadre toutes les prises de décision.

Comment choisir la raison d’être d’une entreprise ?

Pour être tangible, la raison d’être doit être simple, différenciante, synthétique, personnalisée, crédible, inclusive des parties prenantes et en accord avec les objectifs du développement durable définis par l’ONU.
Tout projet de définition de la raison d’être d’une entreprise débute toujours par la constitution d’un comité de pilotage dédié spécialement à cette fin. Pour mener à bien sa mission, ce comité doit réaliser une veille sur le secteur d’activité de l’entreprise et les enjeux stratégiques de l’entreprise afin de cadrer la raison de la future raison d’être de l’entreprise.
Par la suite, il faudra passer par la sensibilisation des équipes sur la raison d’être de l’entreprise. À ce stade du projet, le comité apporte des éléments permettant de prendre un peu de recul. Une délimitation de l’identité de l’entreprise s’avère aussi être cruciale. Cela permettra de dresser les principes généraux de l’entreprise, ses valeurs ainsi que ses aspirations. Une fois l’identité de l’entreprise cernée, le comité doit proposer plusieurs propositions de raison d’être. L’idéal est de présenter 3 à 5 propositions avec des niveaux d’ambition différents. Attention, il ne faut pas juste présenter les propositions. Pour aider le personnel et surtout les dirigeants de l’entreprise à choisir la meilleure des propositions, il faut que chaque proposition soit accompagnée d’une analyse sur les enjeux stratégiques de l’entreprise.
Une fois la raison d’être choisie, les dirigeants devront faire en sorte que toutes les entités œuvrant dans l’entreprise puissent se l’approprier. Chaque élément de l’entreprise doit être engagé en matière de développement durable. Au final, la raison deviendra un cap stratégique qui inscrit l’entreprise dans un engagement à long terme.

Faire une inscription auprès des 102 antennes de la CAF

La Caisse d’Allocation familiale couvre tout le territoire national et les DOM-TOM. Elle dispose de 102 antennes en France Métropolitaine et outre-mer. Les allocataires peuvent se rapprocher de ces bureaux régionaux pour demander des renseignements. La plupart des bénéficiaires d’aide viennent la première fois lors d’un événement tel que la naissance d’un premier enfant. Quoi qu’il en soit, il faut se munir de pièces d’identité et des documents qui justifient le bien-fondé d’une allocation familiale.

Souscrire à une demande de prestation

Pour devenir allocataire, il est conseillé d’effectuer son inscription, de préférence en ligne. Concrètement, il faut aller sur le site officiel de la CAF. Une fois sur le portail, l’internaute doit constituer une demande de prestations. Un formulaire dédié à cet effet se trouve déjà sur le site Web. Auparavant, il faut remplir les renseignements. Si le demandeur d’allocation familiale est éligible, il doit ouvrir un compte CAF puis constituer un dossier. Une discussion instantanée permet de poser des questions sur les formalités.

Quelques points à savoir sur la CAF

Les aides de la CAF s’octroient de manière ponctuelle. Les allocataires reçoivent une subvention en attendant que leur situation s’améliore. Ainsi, ceux qui ont bénéficié d’une allocation il y a plus de 5 ans doivent à nouveau demander un nouveau numéro d’inscription. Cet article donne des pistes pour avoir un numéro CAF. Cet identifiant est pour toute une famille. Si les parents se séparent, l’autre conjoint doit ouvrir un compte à son nom. Les enfants de moins de 20 ans qui quittent le domicile familial ont aussi la possibilité de faire une inscription en leur nom propre.

Créer le buzz sur Internet, une technique marketing infaillible

Le bouche-à-oreille a été l’une des techniques de marketing les plus efficaces. Aujourd’hui, elle continue de faire son effet. Seulement, les méthodes ont évolué. A la place de la rumeur à colporter, vous devez lancer un véritable buzz. La vague commence généralement sur Internet à partir d’une image, d’une vidéo ou d’un article. Dans tous les cas, l’information doit être la plus virale possible. Il faut donner aux autres l’envie de la partager. Pour cela, les grandes marques s’appuient généralement sur les blogueurs ou les personnes ayant une certaine influence sur les internautes. Elles leur demandent de parler d’un produit génial. Le simple fait que ces influenceurs portent, parlent ou utilisent un produit d’une marque devant le public peut initier la vague. Ce type d’action a son coût. Pour réduire les frais, vous pouvez demander à un vidéaste de préparer quelques séquences drôles à poster sur YouTube. L’humour constitue une excellente manière de faire le buzz, notamment chez les internautes toujours en quête de la « vanne du jour ».

La distribution de flyers est intemporelle

Un marketing efficace a surtout une dimension humaine. La distribution de flyers vous permet de vous rapprocher de vos prospects. Les entreprises françaises sont encore très nombreuses à miser sur les bons vieux prospectus. Cette technique entre dans la catégorie « marketing de rue ». Elle permet de toucher le cœur des cibles de manière chirurgicale. Si vous ouvrez une pizzeria à proximité d’un lycée, distribuez les prospectus à l’entrée de cet établissement. Vous pouvez choisir visuellement les destinataires de votre message. Il est possible de déposer les flyers dans les boîtes aux lettres. Les brochures peuvent être laissées à la caisse d’un restaurant ou sur le pare-brise des voitures. Sachez que toute la campagne peut être confiée à un professionnel. L’agence de communication se charge de la création, de l’édition ainsi que de la distribution des flyers. Mais vous pouvez aussi vous charger seul de la conception. Pour l’impression des flyers, vous pouvez l’effectuer en ligne pour gagner du temps.

Rien ne vaut les petits cadeaux

Les clients sont avant tout des humains. Ils adorent les cadeaux, surtout lorsqu’ils ne demandent pas d’engagement de leur part. Concrètement, vous devez promouvoir votre entreprise en faisant des marques d’attention à votre clientèle. Le marketing ne consiste pas seulement à séduire. Il vise également à fidéliser. Proposez à vos clients des cadeaux tels que des bons de réduction ou des cartes de fidélité. Recevoir quelques choses gratuitement donne l’impression d’avoir fait une bonne affaire. En ce qui concerne le cadeau, rien ne vous oblige à offrir un objet de grande valeur. Une porte-clé basique peut suffire. Quel que soit votre choix, le présent devrait être de très bonne qualité. Il en va de votre image auprès de la clientèle. Pensez aussi à un cadeau qui rappelle votre nom et votre activité. Tant mieux si vous pouvez apporter une touche d’humour.

Le principe du CAP

Par CAP, on parlera des Caractéristiques, des Avantages ainsi que des Preuves. Pour les caractéristiques, ce sont des points primordiaux à connaitre quand on veut établir des argumentaires efficaces. Si vous ne connaissez pas les caractéristiques de vos produits ou services, rien ne sert de le vendre. Comme caractéristiques, on peut lister les points techniques du produit ou service. Dans ce cas, on notera le principe de fonctionnement, mais aussi, les composants essentiels, la performance, etc. On doit aussi avoir une connaissance concernant les caractéristiques de l’entreprise fabricante ainsi que celles de l’offre comme les promotions y afférentes, le prix, les modalités de livraison, la garantie, le SAV, etc. Pour ce qui est des avantages, c’est un point qu’on devra identifier en utilisant le produit ou le service. Il peut s’agit des bienfaits qu’il offre, ou de ses bénéfices client. Pour se préparer aux argumentaires concernant les avantages, il est nécessaire d’établir les forces et faiblesses de l’offre. Les forces vont constituer les avantages, les faiblesses sont les points dont il faut trouver des réponses adéquates pour éviter les questions pièges des clients. Cela vous permettra également, d’adapter vos réponses en fonction des besoins de chaque client. Il vous évitera de répondre comme un robot en listant seulement les avantages. Et enfin, pour les preuves, c’est une affirmation sur les bienfaits de votre produit ou service, que vous assumez. Cette étape est nécessaire, car le client sait les objectifs du marketing et qu’il voudra avoir des preuves sur les avantages que vous avez avancés. Pour ce faire, vous pouvez sortir des avis clients, des certifications sur le produit que ce soit à travers le respect des normes ou un label quelconque. L’objectif étant de rassurer le client.

L’unique selling proposition et la pratique

L’unique selling proposition ou USP est l’axe principal de votre argumentaire. Il devra être conçu de sorte à démontrer que vous êtes différent des concurrents. Il faut savoir dans ce cas, que l’information principale dans cet USP est unique et ne concerne que votre société ou votre produit. C’est l’élément de différenciation principal que même votre plus sérieux concurrent ne pourra pas utiliser. Afin de définir cet USP, vous devez vous posez quelques questions importantes. La première est de connaitre votre cible et de savoir quelle est sa principale problématique. Ensuite, il faut entrer un peu dans les détails et voir le type de votre client cible. Il est aussi nécessaire d’avoir une connaissance sur les concurrents afin de définir vos principaux éléments de différenciation. Et enfin, vous devez voir et savoir les avantages de votre produit et ce que vos clients trouvent attirants dans ses caractéristiques. Une fois que vous aurez répondu à ces questions, un fil directeur qui unit toutes les réponses sera l’information clé ou l’USP que vous utiliserez dans votre argument. Dès lors que l’USP est prêt, vous le serez également et vous pourrez attaquer la procédure de vente. Pour ce faire, vous devez tout d’abord, être souriant et avoir l’air sympathique envers votre client. Utilisez ensuite, les argumentaires de manière réfléchie, en évitant la routine. C’est-à-dire que vos réponses doivent être personnalisées tout en ayant en tête l’élément de différenciation principal qui sera votre argument clé.

Réduire le budget pour les campagnes publicitaires

Que ce soit par email, téléphone, sms ou autres techniques, la mise en place des campagnes pour générer des leads nécessite toujours un bon investissement. Cependant, la technique de bouche-à-oreille est moins couteuse, voire gratuite. Elle est basée sur une clientèle satisfaite qui va véhiculer naturellement une meilleure image de la société ou du produit. Cela dit, la clé de la réussite du bouche-à-oreille est la création des incitatifs. Vous devez privilégier quelques clients avec des offres exclusives comme les avant-premières ou les réductions uniques. Misez sur la politique de la fidélisation afin qu’ils puissent partager leur expérience autour d’eux.

Améliorer le référencement

Lorsque les clients satisfaits parlent de votre société à leur entourage, d’autres personnes vont effectuer des recherches sur vous et vos produits sur le Net. Cela va améliorer votre notoriété. Votre site aura ensuite un meilleur positionnement dans le résultat de recherche. De plus, vous augmentez vos contacts. Dans un monde digitalisé, le bouche-à-oreille se traduit en marketing d’influence. Des blogueurs ou des Youtubeurs vont publier un contenu qui a pour but de promouvoir votre marque ou produit. Leurs abonnés connaîtront ensuite la valeur de votre société. Cela va augmenter rapidement votre audience et vous permettre d’accroître votre visibilité.

Offrir une meilleure expérience client

Lorsque vous offrez un excellent service client, cela incite la clientèle à parler de votre marque ou de la recommander à leurs connaissances. Ceci étant, vous devez adopter une meilleure stratégie et mettre en œuvre une guideline stricte pour garantir la qualité du service client. Pensez à offrir une meilleure expérience client. Gardez à l’esprit qu’un client satisfait va créer de l’engouement autour de vos produits. Enfin, véhiculez une image positive de votre entreprise.

Des questions qui montrent que vous ne vous êtes pas renseigner sur l’entreprise

Avant de se rendre à un entretien d’embauche, il est de rigueur de se renseigner sur l’entreprise qui recrute. Il y aura des questions sur le sujet que le recruteur va poser, mais aussi, des questions techniques sur le poste que vous convoitez. De ce fait, si à la fin on vous demande s’il y a des questions et que vous demandez l’activité de la société, ce sera mal vu par les recruteurs. D’un côté par ce que cela montre que vous n’avez pas fait de recherches et que l’intérêt pour l’entreprise est donc, moindre. De l’autre, parce que vous direz indirectement, que vous n’avez pas vraiment écouté durant votre entretien. Généralement, le recruteur se présente et présente l’entreprise durant l’introduction. Ce que vous pouvez faire, c’est de demander des aspects plus détaillés sur le poste, ou bien, sur le projet d’avenir de l’entreprise, c’est-à-dire, son développement prochain. Ensuite, il faut aussi éviter de poser des questions sur la cantine, ou encore les mutuelles. Ce sont des choses que vous devez savoir, mais qui n’est pas à demander lors de votre premier entretien. Vous n’êtes pas encore sûr d’être retenu. Généralement, les questions sur le salaire, les tickets resto, les cotisations sociales et les mutuelles, sont à soulever lorsque le recruteur est sûr qu’il va vous prendre. Cela arrive au second ou au troisième entretien. En d’autres termes, ce n’est pas à vous de le soulever. Le recruteur sait quand le dire et à qui. Il en est de même concernant l’horaire de travail. Une question dans ce sens peut vouloir dire que vous ne pensez qu’à l’argent. En effet, même s’il y a la loi des 35 h de travail, une société voudrait que vous soyez motivé à travailler pour elle, sans compter les heures.

Les autres questions à éviter

Il existe aussi d’autres questions qu’il faut absolument éviter lors d’un premier entretien d’embauche. Parmi elles, vous avez la demande de prendre en peu de recul et de commencer un peu en retard. Généralement, si vous êtes motivé, vous aurez envie de commencer tout de suite, ou après quelques préparations. Si vous demandez de prendre d’abord quelques vacances avant de commencer, cela pourrait être pris comme une non-disponibilité. Cependant, le cas peut être considéré si vous avez les bons arguments, mais il faut juste éviter de s’exposer aux risques durant le premier entretien. Une autre question fatale est de demander le poste ou le salaire que vous pouvez toucher d’ici quelques années. Le risque dans ce cas, c’est que vous mettiez déjà la pression à l’entreprise que dans quelques années, vous allez peut-être quitter l’entreprise si on ne répond pas à vos désirs (poste et/ou salaire). C’est une question qui est normale, mais il ne faut pas le dire directement. Il est mieux de dire s’il y a une perspective d’évolution sur le poste ou si l’entreprise fait des recrutements en interne ou des formations pour pouvoir monter en compétences. Cette forme de question prouvera que vous avez la motivation nécessaire pour monter en grade quand il faut. Ce qui plaira au recruteur.