Commencer par un bon bilan des compétences

Le changement de métier survient généralement après un licenciement. Les personnes qui changent de profession ont parfois du mal à trouver le même poste qu’ils ont occupé auparavant. Il arrive aussi que les travailleurs aient juste envie de découvrir d’autres horizons professionnels. En changeant de métier, ils aspirent à jouir d’une meilleure stabilité. Certains d’entre eux comptent gagner plus d’argent. Puis, il y a également ceux qui éprouvent l’envie de subir moins de pression. Quoi qu’il en soit, les raisons qui motivent une réorientation professionnelle sont multiples. Le changement peut être spontané, suite à un besoin absolu de travailler. Il arrive aussi que la réorientation professionnelle se prépare. Cette deuxième option reste la meilleure, puisque vous aurez le temps de bien choisir votre métier. Vous pourrez également réfléchir plus longuement à la réorientation. La réflexion commence par un bilan de compétences. Il ne s’agit pas d’introspection, mais d’un dispositif payant. Un organisme proposant une prestation d’orientation professionnelle spécialisée (POPS) vous aidera à reconnaître votre aptitude à intégrer une autre profession. Vous devez ainsi avoir un entretien avec un conseiller professionnel. Ce dernier dressera votre profil. En qualité d’expert, il donne son avis sur la possibilité de changer ou non de métier. Cela dit, la décision finale vous reviendra exclusivement.

Trouver un moyen d’acquérir de nouvelles compétences

Les résultats de votre bilan de compétences seront déterminants. Si votre conseiller professionnel vous indique qu’il vous faut encore vous former, alors vous avez intérêt à le faire. Quoi qu’il en soit, ce serait préférable de ne pas démissionner directement de votre emploi actuel. Trouvez plutôt un moyen d’apprendre un nouveau métier en dehors de vos horaires de travail. En amont de la formation, prenez le temps de réfléchir à la réorientation. Listez les secteurs qui recrutent. Concrètement, voyez les offres d’emploi dans les journaux ou sur Internet. Prenez note des métiers qui ont la côte et qui resteront populaires dans le futur.

Procédez par l’élimination pour trouver l’activité qui vous fait effectivement envie. Une autre méthode consiste à chercher dans vos souvenirs les plus profonds. Certaines personnes suivent des études de médecine ou de droits pour plaire à leurs parents. Tout au fonds d’elles-mêmes, elles ont envie de faire carrière dans le cinéma ou un autre domaine. Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à prendre le virage à 90°, mais en prenant les précautions nécessaires. Il faudra notamment disposer d’une économie qui pourrait couvrir les dépenses pendant la transition. L’aide d’un coach ou d’un conseiller en orientation professionnelle pendant la migration sectorielle serait également indispensable.

Régler le côté administratif de la reconversion

Le financement de la formation sur un nouveau métier peut être personnel. Vous pourrez payer les cours de soir ou par correspondance de votre poche. Autrement, il est possible de demander de l’aide auprès d’un organisme de financement pour les reconversions professionnelles. Sachez que la législation française prévoit des congés pour la formation individuelle. Concrètement, l’employé demandera à son patron de s’absenter afin de se former. Les jours d’absence seront normalement rémunérés. Pour ceux dont le parcours professionnel est suivi par Pôle emploi, il est possible de demander une Aide Individuelle à la Formation ou AIF. Les détails de cette subvention sont détaillés dans un Contrat de Transition Professionnelle.

En France, il est tout à fait envisageable d’intégrer un secteur d’activité, sans disposer d’un diplôme en particulier. Parmi les domaines qui demandent beaucoup de main d’œuvre, il y a les services à la personne. La formation pour devenir aide-soignant dure quelques mois seulement. L’hôtellerie et le tourisme en général proposent également des emplois accessibles sans qualification. Les métiers en question s’apprennent sur le tas. C’est aussi le cas pour la conciergerie, le ménage ou la sécurité. Les fonctionnaires ont aussi la possibilité de changer d’emploi. Une simple demande adressée aux supérieurs hiérarchiques peut parfois donner l’accès à un tout autre poste au sein de la fonction publique. Sachez qu’il est possible d’adopter ce changement d’orientation professionnelle à plus de 40, 50 ou 60 ans. De nombreux retraités choisissent de devenir apprentis lorsqu’ils quittent leurs anciens postes.

Des erreurs à ne pas commettre pour la reconversion

Vous l’auriez peut-être compris, le changement de métier reste totalement libre. Il se décide à tout moment. Cependant, prenez garde à toujours changer de profession pour de bonnes raisons. Un meilleur salaire ne suffit pas pour entamer une nouvelle carrière. Certaines personnes menacent leur patron de démissionner uniquement pour avoir une augmentation. C’est probablement efficace, mais cela impacte négativement sur les relations professionnelles. Décider de tout quitter en suivant uniquement les conseils d’autrui serait aussi une mauvaise disposition. Changer de métier sans pour autant procéder à un vrai bilan de compétences serait aussi une erreur. En effet, il y a une énorme différence entre ce que vous souhaitez faire et ce dont vous êtes réellement capable de réaliser. La transition sectorielle demande autant de temps qu’il le faut. Cela indique qu’il faut apprendre à être patient et ne jamais brûler les étapes. C’est encore pire d’agir sans prévoir un vrai plan détaillé de la reconversion. Cette feuille de route inclut la période de formation ainsi que l’essai du nouveau poste. En effet, une reconversion peut aussi se solder par un échec. Dans ce cas, il vaut mieux disposer des moyens pour réintégrer l’emploi initial. Restez en bons termes avec votre ancien patron. Au lieu de démissionner, vous pourrez tout simplement demander une disponibilité d’un an ou de six mois pour essayer la nouvelle profession.

Les études

C’est sur la plateforme PARCOURSUP, dans la rubrique « formation en soins infirmiers », que vous devez vous rendre pour accéder aux études d’infirmier. Vous allez commencer par une première année d’études préparatoires au DE d’infirmier. La formation de 3 ans que vous suivrez sera sanctionnée par le DE d’infirmier ou diplôme d’État d’infirmier, niveau licence. Cependant, il est possible de vous mettre à l’apprentissage dès la 2e année. Si vous voulez intégrer la fonction publique d’État, vous devez passer un concours d’entrée comprenant une épreuve orale d’admission et une épreuve orale d’admissibilité. Après quelques années d’expérience réussies, vous pourrez vous spécialiser pour devenir infirmier de bloc opératoire, infirmier anesthésiste ou infirmier puériculteur ou encore cadre de santé (après 4 ans d’expérience) ou bien directeur de soins.

Le métier

Dans un hôpital, vous ferez partie de l’équipe médicale et contribuerez à établir les diagnostics, vous aurez à vous occuper des soins spécifiques et d’hygiène des malades tels que les prélèvements sanguins, prise de la tension, préparation et distribution des médicaments, pose de pansements, etc. Mais on pourra également vous charger de certaines tâches administratives au besoin. Sinon, vous serez le maillon entre les patients et le milieu hospitalier, ce qui requiert de vous des qualités telles que l’écoute et l’empathie. Le métier d’infirmier réclame une excellente forme physique car vous devriez rester quasiment en permanence auprès des malades mais ce métier exige aussi une bonne résistance psychologique.

Les études en lettres étrangères

Si l’étude de langue a pour but de se spécialiser dans une langue étrangère, alors le diplôme obtenu à la fin du cursus sera la licence LLCER. Il s’agit d’une spécialisation dans le domaine de la littérature et qui aboutit sur le concours du Certificat d’Aptitude au Professorat de l’Enseignement du Second Degré.
Durant ce parcours de licence, l’élève acquerra des connaissances linguistiques telles que la grammaire ou la compréhension, mais aussi des notions en littérature et en civilisation autour de cette langue. L’obtention de ce diplôme débouche sur les métiers de traduction et d’enseignement. Le niveau sera plus élevé en master ce qui permettra à la personne de se spécialiser dans la formation et l’enseignement supérieur.

Les études de lettres visant les entreprises

Les études de langue ouvrent également des voies dans les métiers au sein des entreprises. La différence, c’est que le cursus universitaire portera sur la maitrise de deux langues sur le même niveau. Il est à savoir que toutes les combinaisons de langues possibles sont autorisées.
La filière orientée vers les entreprises est la LEA ou Langues Etrangères Appliquées. La grande majorité des études sera ciblée sur l’utilisation des deux langues dans le contexte du travail en entreprise. Une fois la licence professionnelle obtenue, il sera alors possible de travailler dans le commerce international ou le tourisme.

L’infirmier généraliste

En tant qu’infirmier généraliste, il exerce des tâches très variées. Il s’occupe notamment des soins préventifs et curatifs, de l’assistance technique et de la prescription. C’est un employé rattaché à des structures au niveau d’une commune ou d’un département. Concernant leur rémunération, elle peut aller jusqu’à 28 000 euros par an pour les débutants et atteindre les 50 000 euros pour les plus expérimentés.

L’infirmier préleveur

Comme son nom l’indique, l’infirmier préleveur est chargé du prélèvement. Il travaille notamment au niveau du laboratoire d’analyses médicales. Il est ainsi chargé de faire des prélèvements d’échantillons biologiques. La rémunération atteint les 31 000 euros pour les débutants et va aller jusqu’à 39 000 euros annuellement pour ceux qui ont plus de cinq années d’expérience.

L’infirmier en santé du travail

Il travaille au sein d’une entreprise et il est supervisé par le médecin en santé du travail. D’un point de vue général, il s’occupe de la santé des employés de l’entreprise. Mais, il a également un rôle de sensibilisation vis-à-vis des employés. C’est lui qui est aussi chargé d’évaluer les risques encourus au niveau d’un poste en particulier. Avec plus de cinq ans d’expérience, il peut gagner jusqu’à 50 000 euros.

L’infirmier coordinateur

Il a pour rôle de coordonner des interventions dans des Etablissements d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes ou EHPAD. Les activités effectuées par l’équipe de soin sont coordonnées et gérées par lui. Il a également pour rôle d’accompagner les résidents, mais aussi les membres de leur famille. Sa rémunération annuelle peut atteindre les 45 000 euros s’il a plus de cinq années d’expérience.

Le secteur du référencement

Avec la forte digitalisation du secteur privé et du secteur public, le référencement n’a jamais été autant sollicité. En effet, seules les techniques de référencement peuvent aider le service public et privé à gagner en visibilité sur le Web. Le secteur du référencement est divisé en plusieurs métiers pour concourir aux mêmes objectifs. Le secteur recrute des web designers pour améliorer l’apparence et les fonctionnalités d’un site web. Il recrute des rédacteurs pour créer des contenus répondant aux besoins des internautes et des algorithmes de Google. Il recrute des référenceurs pour optimiser les contenus et booster le netlinking. Si être référenceur vous intéresse, cliquez ici pour suivre une formation gratuite en référencement naturel. Il recrute des community managers pour gérer les réseaux sociaux afin d’apporter plus de visibilité dans le temps et dans l’espace. Il recrute des spécialistes en Google Adwords pour s’occuper du référencement payant, un moyen pour booster son ascension dans les SERP.

Le secteur des services à la personne

Quand les parents n’ont pas assez de temps libre pour s’occuper du ménage, des repas, du repassage et des travaux de jardinage, ils cherchent de l’aide. Pour répondre à la demande, le secteur ne cesse de recruter des femmes et des hommes de ménage ainsi que des jardiniers.

Puis, de plus en plus de personnes âgées décident de rester chez elles au lieu d’aller en maison de retraite. Le maintien à domicile nécessite non seulement un aménagement des lieux, mais également une assistance permanente ou ponctuelle, mais régulière. Les personnes âgées ont ainsi besoin de femmes de ménage et d’auxiliaires de vie. Ces derniers ont pour fonction de briser l’isolement des personnes âgées et/ou les accompagner à des sorties.

Le secteur de l’hôtellerie

Les vacances sont très ancrées dans les us et coutumes des familles françaises. Il est impératif de partir en vacances, ne serait-ce que le temps d’un week-end, pour s’amuser ou pour se déstresser. Les hôtels et les restaurants fleurissent partout et ont besoin de personnel pour fonctionner. Même si la saisonnalité se fait ressentir dans ce secteur, ce dernier continue de recrutertout au long de l’année. Il a besoin de réceptionnistes, de bagagistes, de voituriers, de serveurs, de femmes de chambre, de cuisiniers et d’aides-cuisiniers.

Le secteur de l’enseignement et de la formation

Dans l’enseignement général, le recrutement se fait par voie de concours. Il ne cesse de recruter à cause des départs en retraite et de la pénurie de vocations. En effet, l’enseignement se veut de plus en plus spécifique. Pour former les élèves dans un domaine précis, il faut des spécialistes qui maîtrisent bien la fonction. Dans le secteur des formations professionnelles pour les adultes, que ce soit en formation initiale, continue ou en alternance, on a toujours besoin de formateurs qualifiés.

Quel parcours pour devenir banquier ?

Un candidat au poste de banquier doit envisager les cursus suivants : niveau Bac+2 BTS banque, BTS négociation et relation client, BTS management des unités commerciales, DUT techniques de commercialisation, DEUST banque, organismes financiers et de prévoyance et DEUST commercialisation des produits financiers, option banque et assurance niveau Bac+3. Il est aussi possible de parvenir à ce poste en étant titulaire d’un diplôme d’Ecole de commerce niveau Bac+5, une licence pro dans le domaine de la banque, la finance et l’assurance, une Maîtrise des sciences et techniques comptables et financières ou une Maîtrise en sciences de gestion. Les diplômes suivants sont aussi acceptés : diplôme supérieur d’école de commerce, diplôme d’IUP banque et finance, Master gestion de patrimoine, Master 2 sciences juridiques et financières ou Master 2 sciences politiques option finance.

Quel est le rôle d’un banquier ?

Un banquier a pour mission de suivre les comptes de ses clients, jour après jour et de les informer en cas d’anomalie ou de problème. C’est lui qui doit accueillir ses clients et en assurer la gestion du portefeuille. Il lui incombe de négocier des aménagements de contrats et de négocier les taux, et de tenir ses clients au courant de toute nouveauté en termes de produits banquiers. C’est aussi son rôle de proposer des placements financiers, de rechercher de nouveaux clients, de vendre les produits financiers et les services de la banque où il travaille et de réaliser des demandes de crédits.

Zoom sur les qualités essentielles pour devenir banquier

Un banquier est en relation directe avec ses clients, aussi, il lui est requis d’user de diplomatie, de psychologie et d’une écoute active. Il est là pour trouver et proposer des solutions en cas de problèmes, ce qui exige de lui une capacité à gérer les situations conflictuelles et délicates, et une bonne dose de sens du dialogue. Il lui faut surtout de solides compétences techniques dans le domaine bancaire et se tenir informé de toutes les actualités économiques. Il est très important qu’il présente une bonne capacité à résister aux pressions qui sont quotidiennes dans ce milieu.

Possibilité d’évolution de carrière

Un banquier peut accéder à d’autres postes avec l’expérience et les années. Il faut qu’il prouve sa capacité à développer son portefeuille clients et ainsi il acquerra davantage de responsabilités. Il a aussi l’occasion de se spécialiser dans certains domaines spécifiques, par exemple l’immobilier, les matières premières etc. S’il arrive à se démarquer dans tel ou type de transactions, cela constitue pour lui une qualification supplémentaire qui servira à sa carrière. Il peut alors espérer devenir chef de produit marketing, analyste de crédit, gestionnaire de patrimoine, directeur d’agence ou chargé de mission.

Les métiers qui embauchent continuellement

En tête de liste sur les métiers qui embauchent les sans diplômes se retrouve le métier d’agent de sécurité. En effet, ce domaine recrute et offre des opportunités de façon continuelles aux jeunes qui entrent à peine dans la vie active, sans exiger de pré requis ou de diplôme. Cependant, il est quand même recommandé d’être dans une bonne condition physique. Ensuite, arrive le métier de livreur. Même s’il arrive que des femmes exercent ce métier, dans la plupart des cas, les hommes sont les mieux recommandés pour cet emploi pour des raisons de sureté. À pied, en scooter ou dans un véhicule approprié, la principale condition pour convenir à cet emploi est d’être disponible, car les horaires de travail sont assez décalés. Et pour finir, il y a les emplois dans la restauration collective. Entre aide-cuisinier, caissier et serveur, ce domaine est connu pour embaucher les jeunes étudiants ou les jeunes sans-emplois afin de les aider à se lancer dans la vie active.

Les métiers d’accueil

Les métiers d’accueil offrent aussi de belles opportunités pour les non-diplômés et surtout sans une expérience. Il est vrai que cette profession n’exige pas beaucoup de compétence. L’essentiel est d’avoir une bonne capacité de communication, et bien sûr, une bonne présentation. Vous pouvez alors devenir vendeur(euse), agent d’accueil, ou même employé de caisse. Normalement, que vous soyez débutant ou que vous ayez déjà de l’expérience dans le domaine, l’entreprise qui va vous embaucher s’occupe elle-même de vous former dans le but de vous donner toutes cartes en main pour réussir le travail. Et cela, parce que la plupart du temps, chaque entreprise a ses propres valeurs à véhiculer. Le plus important reste donc, de garder le sourire en toute circonstance et le tour est joué !

Devenez entrepreneur !

Nous avons tendance à penser que pour devenir un chef d’entreprise, il faut les diplômes qui vont avec ! Ce n’est ni faux ni totalement vrai, car pour créer votre propre entreprise, il vous faut juste « le bon projet » et assez de volonté pour vous lancer et prendre le risque. En effet, grâce à l’évolution de la technologie, il est maintenant plus facile de créer son startup et de la développer sur un marché bien précis. Il faut aussi savoir que votre projet ne va pas connaître un grand succès dès le début, il vous faudra vous armer de patience. Vous devez aussi vous instruire le plus possible, étant donné qu’un bon chef d’entreprise doit posséder certaines qualités même s’il n’est pas allé jusqu’au bout de ses études. Vous pouvez alors vous former en gestion de projet, en comptabilité, mais aussi en technique managériale.

Se reconnaître soi-même

Vous êtes le seul qui connait parfaitement votre corps et vos caractères. Donc, il n’y a que vous qui pourrez définir vos qualités et vos défauts. La connaissance de tout cela vous permettra de déterminer le rôle que vous pourrez maîtriser à la perfection et celui qui ne vous correspond pas. Ainsi, vous pourrez faire le bon choix et réussir simplement avec succès votre rôle.

Avoir l’esprit créatif

Les paroles dans les scénarios restent des guides et les scénaristes ne font que donner des directives. Le reste vous sera entièrement confié et la réussite de la scène dépendra surtout de votre créativité. Un bon acteur devra savoir adopter une bonne attitude à n’importe quelle circonstance. Il ne doit jamais hésiter, car cela pourrait refléter son incapacité de gérer le rôle en question.

Avoir un plan

Avant de vous lancer dans le domaine du cinéma, vous devez bien définir votre objectif et déterminer jusqu’où vous comptez aller. L’élaboration d’un bon plan vous permettra d’évoluer facilement dans le métier et de réaliser vos rêves avec plus d’aisance.

Avoir un budget suffisant

Pour que vous puissiez vous investir pleinement dans ce genre de métier, il est nécessaire que vous disposiez d’un fond suffisant. En effet, l’obtention d’un contrat n’est jamais facile dans ce domaine et cette profession ne pourra pas garantir entièrement votre vie. Donc, si vous n’avez pas d’autre moyen de financement, vous devez trouver un bon producteur pour pouvoir survivre grâce au travail d’acteur.

Des questions qui montrent que vous ne vous êtes pas renseigner sur l’entreprise

Avant de se rendre à un entretien d’embauche, il est de rigueur de se renseigner sur l’entreprise qui recrute. Il y aura des questions sur le sujet que le recruteur va poser, mais aussi, des questions techniques sur le poste que vous convoitez. De ce fait, si à la fin on vous demande s’il y a des questions et que vous demandez l’activité de la société, ce sera mal vu par les recruteurs. D’un côté par ce que cela montre que vous n’avez pas fait de recherches et que l’intérêt pour l’entreprise est donc, moindre. De l’autre, parce que vous direz indirectement, que vous n’avez pas vraiment écouté durant votre entretien. Généralement, le recruteur se présente et présente l’entreprise durant l’introduction. Ce que vous pouvez faire, c’est de demander des aspects plus détaillés sur le poste, ou bien, sur le projet d’avenir de l’entreprise, c’est-à-dire, son développement prochain. Ensuite, il faut aussi éviter de poser des questions sur la cantine, ou encore les mutuelles. Ce sont des choses que vous devez savoir, mais qui n’est pas à demander lors de votre premier entretien. Vous n’êtes pas encore sûr d’être retenu. Généralement, les questions sur le salaire, les tickets resto, les cotisations sociales et les mutuelles, sont à soulever lorsque le recruteur est sûr qu’il va vous prendre. Cela arrive au second ou au troisième entretien. En d’autres termes, ce n’est pas à vous de le soulever. Le recruteur sait quand le dire et à qui. Il en est de même concernant l’horaire de travail. Une question dans ce sens peut vouloir dire que vous ne pensez qu’à l’argent. En effet, même s’il y a la loi des 35 h de travail, une société voudrait que vous soyez motivé à travailler pour elle, sans compter les heures.

Les autres questions à éviter

Il existe aussi d’autres questions qu’il faut absolument éviter lors d’un premier entretien d’embauche. Parmi elles, vous avez la demande de prendre en peu de recul et de commencer un peu en retard. Généralement, si vous êtes motivé, vous aurez envie de commencer tout de suite, ou après quelques préparations. Si vous demandez de prendre d’abord quelques vacances avant de commencer, cela pourrait être pris comme une non-disponibilité. Cependant, le cas peut être considéré si vous avez les bons arguments, mais il faut juste éviter de s’exposer aux risques durant le premier entretien. Une autre question fatale est de demander le poste ou le salaire que vous pouvez toucher d’ici quelques années. Le risque dans ce cas, c’est que vous mettiez déjà la pression à l’entreprise que dans quelques années, vous allez peut-être quitter l’entreprise si on ne répond pas à vos désirs (poste et/ou salaire). C’est une question qui est normale, mais il ne faut pas le dire directement. Il est mieux de dire s’il y a une perspective d’évolution sur le poste ou si l’entreprise fait des recrutements en interne ou des formations pour pouvoir monter en compétences. Cette forme de question prouvera que vous avez la motivation nécessaire pour monter en grade quand il faut. Ce qui plaira au recruteur.