Comment financer votre projet ?

Envie de vous trouver dans le feu de l’action ? Ou, de donner corps à vos rêves et de tout contrôler vos entrées de fonds ? C’est parfait. Mais, où trouver l’argent pour financer votre projet ? Le financement est un aspect important dans la création d’une entreprise. C’est la première question qui vous vient à l’esprit lorsque vous pensez à lancer votre propre affaire. A moins que vous ne soyez fortuné, l’aide de la famille et vos économies ne pourront pas suffire pour financer le projet. Heureusement, il existe une grande variété de sources de financement. Vous aurez donc un large choix. Pour trouver le meilleur pour vous, il faut demander l’aide d’un conseiller. Retenez cependant qu’il faudra établir un business plan si vous voulez obtenir des résultats positifs.

Apprendre à gérer les débuts de votre entreprise

Vous avez un projet et il semble viable. Vous avez obtenu le financement et vous vous lancez dans vos activités. Il ne faut pas rester obtus sur votre idée. Ecoutez votre environnement immédiat pour parer aux éventuels problèmes survenus lors des débuts d’une entreprise. Cela permet d’éviter de perdre le contrôle des situations. Pensez à faire des sondages pour obtenir des retours sur vos produits ou services. Ainsi, vous pourrez améliorer leur qualité. Sachez qu’une jeune entreprise doit se montrer créative pour être compétitive et se faire une place et un nom dans son domaine. Pas besoin d’être diplômé pour vous lancer. Il suffit d’avoir le sens de l’entrepreneuriat ainsi que les aptitudes nécessaires. Il est tout à fait possible d’être autodidacte et de bien mener votre projet. Sinon, vous pouvez suivre des informations ou vous faire accompagner par un bon consultant.

Étape 1 : étude et planification du projet

Définissez le but de votre projet et les objectifs que vous souhaitez atteindre. Posez-vous ces deux questions : quel est le but principal de votre projet ? À quoi sert-il et que voulez-vous accomplir ? Concernant les objectifs, déterminez-les en vous appuyant sur le concept SMART : fixez des objectifs Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis.

Faites une analyse du marché et de la concurrence. Vous devez savoir qui sont vos concurrents. Ensuite, déterminez, du moins approximativement, les besoins et les désirs de vos cibles (clients potentiels).

Enfin, vous devez garder à l’esprit que le produit ou le service que vous comptez développer doit être unique et être le meilleur sur le marché. Par conséquent, réfléchissez à la manière d’arriver à ces deux spécificités. Si votre projet porte sur l’ouverture d’une filiale, cette dernière doit séduire le public.

Établissez un planning détaillé qui présente chaque étape du projet. Utilisez le diagramme de Gantt pour estimer les délais. Déterminez le budget que vous êtes en mesure de consacrer à ce projet. Faites la liste des sources de financement envisageable. Si nécessaire, contactez des banques et des investisseurs. Enfin, anticipez les risques potentiels et mettez en place des stratégies pour les réduire, voire les supprimer.

Étape 2 : Mise en place et développement du projet

Commencez à recruter le personnel qui va travailler dans votre nouvelle structure ou se consacrer à la commercialisation du projet ou service en cours d’élaboration. Vous pouvez aussi affecter à ce nouveau projet des salariés de votre entreprise si vous estimez qu’ils disposent des compétences nécessaires pour en maîtriser le domaine. Communiquez clairement et constamment avec cette nouvelle équipe.

Investissez dans des outils de contrôle comme les logiciels présentés dans cet article. Un logiciel de gestion de projet coordonne les différentes étapes du projet, crée une communication fluide entre les équipes et permet de faire un suivi des progrès. Un CRM est également indispensable, car il améliore la collaboration entre les équipes de vente, de marketing et de SAV. Dans le même temps, il facilite la gestion des clients et des prospects.

Les produits ou les nouveaux services sont enfin prêts. Avant le lancement officiel, testez votre produit ou service avec un nombre restreint de personnes ou d’entreprises volontaires. Parallèlement, préparez une stratégie de lancement.

Élaborez une stratégie de marketing et communication pour promouvoir votre nouvelle offre. Identifiez les canaux de vente. Commencez à contacter des clients potentiels. Le CRM aura toute son utilité auprès de ce service marketing.

Étape 3 : Gestion du nouveau produit ou service

Faites le suivi de vos ventes. Pour ce faire, créez des indicateurs clé de performance (Key Performance Indicator). Ajustez vos stratégies marketing et commerciales chaque fois que c’est nécessaire. Analysez les avis clientèle pour y identifier des axes d’amélioration de votre nouvelle offre.

Commencer par un bon bilan des compétences

Le changement de métier survient généralement après un licenciement. Les personnes qui changent de profession ont parfois du mal à trouver le même poste qu’ils ont occupé auparavant. Il arrive aussi que les travailleurs aient juste envie de découvrir d’autres horizons professionnels. En changeant de métier, ils aspirent à jouir d’une meilleure stabilité. Certains d’entre eux comptent gagner plus d’argent. Puis, il y a également ceux qui éprouvent l’envie de subir moins de pression. Quoi qu’il en soit, les raisons qui motivent une réorientation professionnelle sont multiples. Le changement peut être spontané, suite à un besoin absolu de travailler. Il arrive aussi que la réorientation professionnelle se prépare. Cette deuxième option reste la meilleure, puisque vous aurez le temps de bien choisir votre métier. Vous pourrez également réfléchir plus longuement à la réorientation. La réflexion commence par un bilan de compétences. Il ne s’agit pas d’introspection, mais d’un dispositif payant. Un organisme proposant une prestation d’orientation professionnelle spécialisée (POPS) vous aidera à reconnaître votre aptitude à intégrer une autre profession. Vous devez ainsi avoir un entretien avec un conseiller professionnel. Ce dernier dressera votre profil. En qualité d’expert, il donne son avis sur la possibilité de changer ou non de métier. Cela dit, la décision finale vous reviendra exclusivement.

Trouver un moyen d’acquérir de nouvelles compétences

Les résultats de votre bilan de compétences seront déterminants. Si votre conseiller professionnel vous indique qu’il vous faut encore vous former, alors vous avez intérêt à le faire. Quoi qu’il en soit, ce serait préférable de ne pas démissionner directement de votre emploi actuel. Trouvez plutôt un moyen d’apprendre un nouveau métier en dehors de vos horaires de travail. En amont de la formation, prenez le temps de réfléchir à la réorientation. Listez les secteurs qui recrutent. Concrètement, voyez les offres d’emploi dans les journaux ou sur Internet. Prenez note des métiers qui ont la côte et qui resteront populaires dans le futur.

Procédez par l’élimination pour trouver l’activité qui vous fait effectivement envie. Une autre méthode consiste à chercher dans vos souvenirs les plus profonds. Certaines personnes suivent des études de médecine ou de droits pour plaire à leurs parents. Tout au fonds d’elles-mêmes, elles ont envie de faire carrière dans le cinéma ou un autre domaine. Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à prendre le virage à 90°, mais en prenant les précautions nécessaires. Il faudra notamment disposer d’une économie qui pourrait couvrir les dépenses pendant la transition. L’aide d’un coach ou d’un conseiller en orientation professionnelle pendant la migration sectorielle serait également indispensable.

Régler le côté administratif de la reconversion

Le financement de la formation sur un nouveau métier peut être personnel. Vous pourrez payer les cours de soir ou par correspondance de votre poche. Autrement, il est possible de demander de l’aide auprès d’un organisme de financement pour les reconversions professionnelles. Sachez que la législation française prévoit des congés pour la formation individuelle. Concrètement, l’employé demandera à son patron de s’absenter afin de se former. Les jours d’absence seront normalement rémunérés. Pour ceux dont le parcours professionnel est suivi par Pôle emploi, il est possible de demander une Aide Individuelle à la Formation ou AIF. Les détails de cette subvention sont détaillés dans un Contrat de Transition Professionnelle.

En France, il est tout à fait envisageable d’intégrer un secteur d’activité, sans disposer d’un diplôme en particulier. Parmi les domaines qui demandent beaucoup de main d’œuvre, il y a les services à la personne. La formation pour devenir aide-soignant dure quelques mois seulement. L’hôtellerie et le tourisme en général proposent également des emplois accessibles sans qualification. Les métiers en question s’apprennent sur le tas. C’est aussi le cas pour la conciergerie, le ménage ou la sécurité. Les fonctionnaires ont aussi la possibilité de changer d’emploi. Une simple demande adressée aux supérieurs hiérarchiques peut parfois donner l’accès à un tout autre poste au sein de la fonction publique. Sachez qu’il est possible d’adopter ce changement d’orientation professionnelle à plus de 40, 50 ou 60 ans. De nombreux retraités choisissent de devenir apprentis lorsqu’ils quittent leurs anciens postes.

Des erreurs à ne pas commettre pour la reconversion

Vous l’auriez peut-être compris, le changement de métier reste totalement libre. Il se décide à tout moment. Cependant, prenez garde à toujours changer de profession pour de bonnes raisons. Un meilleur salaire ne suffit pas pour entamer une nouvelle carrière. Certaines personnes menacent leur patron de démissionner uniquement pour avoir une augmentation. C’est probablement efficace, mais cela impacte négativement sur les relations professionnelles. Décider de tout quitter en suivant uniquement les conseils d’autrui serait aussi une mauvaise disposition. Changer de métier sans pour autant procéder à un vrai bilan de compétences serait aussi une erreur. En effet, il y a une énorme différence entre ce que vous souhaitez faire et ce dont vous êtes réellement capable de réaliser. La transition sectorielle demande autant de temps qu’il le faut. Cela indique qu’il faut apprendre à être patient et ne jamais brûler les étapes. C’est encore pire d’agir sans prévoir un vrai plan détaillé de la reconversion. Cette feuille de route inclut la période de formation ainsi que l’essai du nouveau poste. En effet, une reconversion peut aussi se solder par un échec. Dans ce cas, il vaut mieux disposer des moyens pour réintégrer l’emploi initial. Restez en bons termes avec votre ancien patron. Au lieu de démissionner, vous pourrez tout simplement demander une disponibilité d’un an ou de six mois pour essayer la nouvelle profession.

Fraudes en entreprise

Les dirigeants peuvent rencontrer des employés fraudeurs. Même en restant très vigilante, toute entreprise, grande ou petite, peut être victime d’employés qui volent. Dans la plupart des cas, les employés volent des produits ou fournitures d’entreprise. Les responsables ne s’aperçoivent du problème qu’après les écarts de stock révélé lors des contrôles. Pour faire la lumière sur ce type de problème, rapprochez-vous d’un détective privé. Il peut vérifier les antécédents des employés, etc. pour trouver le ou les fraudeurs. Si l’employé coupable a déjà démissionné et changé d’adresse, le détective peut toujours le rechercher. Dans ce cas, rendez-vous ici pour mieux comprendre le tarif pour chaque prestation d’un détective privé.

À noter que les dirigeants d’entreprise peuvent aussi collaborer avec un détective privé pour enquêter sur un cas de harcèlement en entreprise. Ils peuvent également demander une enquête sur la moralité d’un employé qui devra prendre un poste à forte responsabilité. Cela peut consister entre autres en une vérification de son CV. Pour effectuer ces types d’enquêtes, un détective privé peut proposer comme tarif 850 euros TTC.

Espionnage industriel

La concurrence est rude. Pour réussir, certains n’hésitent pas à voler le design, la formule, etc. d’un produit d’un concurrent pour rester au top. D’autres volent les clients d’autrui. Si vous pensez être victime de concurrence déloyale, contactez un détective privé pour qu’il trouve la source de la fuite. Sachez que les tribunaux acceptent les rapports d’un détective lorsqu’ils répondent à certaines règles de forme et de fond. Pour ce type de prestation, le tarif d’un détective privé est à partir de 1 500 euros TTC.

D’autres raisons d’engager un détective

Vous devez signer un gros contrat commercial avec des partenaires ? Pour vous assurer de la légalité du contrat, vous pouvez compter sur un détective privé. Il peut par exemple s’assurer que l’immeuble que vous voulez acquérir est bien sous le nom du vendeur et qu’il n’est pas hypothéqué.

Avant d’accepter une demande d’emprunt, vous pouvez également demander l’aide d’un détective pour une enquête de solvabilité de l’entreprise ou la personne concernée. Le détective privé propose généralement comme tarif 850 à 1 800 euros TTC.

La Suisse : un pays qui attire beaucoup de jeunes étudiants

La Suisse est connue dans le monde entier comme un pays magnifique avec des produits haut de gamme. En matière d’éducation, la Suisse est aussi réputée pour sa qualité d’enseignement. Les étudiants qui y étudient sont destinés à partir avec une bonne base de connaissance et d’expérience pour atteindre leurs objectifs. Les jeunes étudiants peuvent également profiter de nombreuses activités. C’est un pays qui possède quatre langues nationales qui sont le français, l’italien, le romanche et l’allemand.

Les États-Unis d’Amérique : parmi les meilleures destinations pour poursuivre ses études

Beaucoup d’étudiants veulent poursuivre leurs études à l’étranger. Les États-Unis offrent alors de grandes possibilités, pour bénéficier d’une expérience parfaite en termes d’études et de formations. C’est d’ailleurs le deuxième pays qui offre une éducation de meilleure qualité. Si vous aimez faire des découvertes culturelles, et adopter un certain style de vie entre les cours, l’Amérique est donc la meilleure destination.

L’Allemagne : la première destination pour étudier en Europe

L’Allemagne est une destination populaire, et les étudiants y bénéficient d’une éducation de classe au niveau international. Les étudiants internationaux peuvent aussi profiter des nombreux avantages. De plus, les démarches à suivre sont plus simplifiées. L’Allemagne comprend en fait un vaste réseau de formation. Le pays abrite également de nombreuses entreprises internationales. C’est une opportunité qui s’offre pour de belles perspectives de carrière.

Le Canada: le premier pays qui reçoit le plus d’étudiants

Depuis deux années consécutives, le Canada occupe encore la première place. C’est d’ailleurs un pays de choix évident pour ceux et celle qui veulent suivre des formations professionnelles et des études universitaires. Avec la politique multiculturaliste, il accueille en effet tous les étudiants des quatre coins du monde.

Faire le bon choix du courtier en ligne

Le courtage en ligne connaît vite un succès fulgurant et ne cesse de se développer deux décennies après ses débuts. Ce type de courtage facilite grandement les investissements en Bourse, donc, le choix de votre courtier en ligne est une étape primordiale. Vous devez à tout prix faire le bon choix de l’acteur fiable qui correspond exactement à vos besoins et attentes. En effet, il faut le courtier en ligne le plus adapté à votre profil d’investisseur afin d’avoir un investissement rentable. Avant tout, sachez qu’un courtier est l’intermédiaire entre vous et les marchés financiers et il doit posséder une licence ainsi qu’une autorisation officielle pour opérer en France. Donc, vérifier que le courtier en ligne avec lequel vous comptez travailler figure bien sur les registres Regafi. Maintenant, le courtier en ligne de votre choix va mettre à votre disposition une plateforme qui lui permet de se positionner sur les produits financiers souhaités et sur les marchés sur Internet. Il peut le faire soit par téléphone soit via une application mobile. Son rôle consiste à exécuter les ordres de Bourse pour votre compte, que ce soit des ordres d’achat ou des ordres de vente. Mais le courtier en ligne peut aussi mettre à votre disposition des logiciels d’analyse graphique vous permettant d’étudier l’historique des cours de Bourse d’une valeur ou des stock-screeners pour effectuer un stock-picking ou d’autres outils encore. Sinon, en principe, les courtiers en ligne vous dirigent vers des webinaires, des livres blancs et des points marchés pour affiner votre connaissance sur le marché boursier. Le vôtre vous prodigue les conseils dont vous avez besoin pour mieux comprendre l’investissement que vous réalisez.

Ce qu’un courtier en ligne permet de faire

Bien sûr, en premier lieu, un courtier en ligne vous permet d’investir en Bourse, mais il fait bien plus que cela. Il vous offre l’opportunité d’acheter des actions, de vous positionner sur le marché des matières premières, sur le marché obligataire, sur le marché des devises, etc. En fait, il vous permet de vous positionner sur l’ensemble des marchés financiers, autrement dit, vous pouvez acheter ou vendre une large gamme de produits financiers. Cela peut être des produits de Bourse, des ETF, des titres vifs, des OPCVM, etc. On peut presque dire que vos possibilités d’investissement sont illimitées, la seule limite est l’offre proposée par votre broker. Prenons un exemple. Si vous travaillez avec un courtier en ligne français, il ne va pas forcément vous permettre d’investir sur des marchés étrangers. D’ailleurs, la grande majorité des courtiers en ligne français font de même bien qu’ils permettent de passer des ordres sur les valeurs du CAC 40 via des ETF, des actions ou des obligations. Mais rares sont ceux qui vont permettre de passer des ordres de Bourse sur des valeurs cotées au Canada ou dans un autre pays étranger. Tout cela pour dire qu’avant de choisir votre courtier en ligne, vérifiez que les actifs que vous souhaitez trader sont bien disponibles. Toutefois, sachez que tous les courtiers en ligne proposent de façon systématique un compte-titres ordinaire ou CTO grâce auquel vous pouvez investir sur toutes sortes de produits financiers sans limites. Puis, il y a des courtiers qui proposent le Service de Règlement Différé ou SRD vous permettant de bénéficier de l’effet de levier et de vendre à découvert et il y a ceux qui ne le proposent pas.

Courtier en ligne, les coûts

Évidemment, les services d’un courtier en ligne ont un coût qui varie d’un courtier à un autre. Le tarif peut aller du simple au double, voire au triple car si certains courtiers proposent certains services à titre gratuit, d’autres facturent toutes leurs tâches. Les frais de courtage proprement dits sont pratiqués par tous les courtiers, mais certains appliquent des frais supplémentaires. Pour mieux vous préparer à ce que vous devez payer, voici quelques informations à connaître : il y a d’abord les frais de garde, payants pour certains et offerts par la plupart des courtiers, puis, il y les frais de courtage qui correspondent au coût d’un passage d’ordre. Il y a également les frais d’abonnement dont vous devez vous acquitter au cas où le nombre de transactions prévues par l’éventuel abonnement n’est pas atteint. Enfin, il y a les frais annexes qui vous donnent accès à des services tels que des logiciels de prise de décision ou suivre les cours en temps réel. Revenons un instant aux frais de courtage. ils peuvent différer selon les courtiers, mais varier chez le même courtier en fonction du marché concerné. Le recours ou non au SRD et le type de produit, c’est-à-dire des produits dérivés, des titres vifs, ou des OPCVM, peuvent aussi influer sur les frais de courtage chez un même courtier en ligne. En tout cas, les tarifs pratiqués par les courtiers en ligne restent plus abordables que ceux des acteurs traditionnels, les banques, etc.

Les études

C’est sur la plateforme PARCOURSUP, dans la rubrique « formation en soins infirmiers », que vous devez vous rendre pour accéder aux études d’infirmier. Vous allez commencer par une première année d’études préparatoires au DE d’infirmier. La formation de 3 ans que vous suivrez sera sanctionnée par le DE d’infirmier ou diplôme d’État d’infirmier, niveau licence. Cependant, il est possible de vous mettre à l’apprentissage dès la 2e année. Si vous voulez intégrer la fonction publique d’État, vous devez passer un concours d’entrée comprenant une épreuve orale d’admission et une épreuve orale d’admissibilité. Après quelques années d’expérience réussies, vous pourrez vous spécialiser pour devenir infirmier de bloc opératoire, infirmier anesthésiste ou infirmier puériculteur ou encore cadre de santé (après 4 ans d’expérience) ou bien directeur de soins.

Le métier

Dans un hôpital, vous ferez partie de l’équipe médicale et contribuerez à établir les diagnostics, vous aurez à vous occuper des soins spécifiques et d’hygiène des malades tels que les prélèvements sanguins, prise de la tension, préparation et distribution des médicaments, pose de pansements, etc. Mais on pourra également vous charger de certaines tâches administratives au besoin. Sinon, vous serez le maillon entre les patients et le milieu hospitalier, ce qui requiert de vous des qualités telles que l’écoute et l’empathie. Le métier d’infirmier réclame une excellente forme physique car vous devriez rester quasiment en permanence auprès des malades mais ce métier exige aussi une bonne résistance psychologique.

Se fixer un cap et savoir communiquer

Que vous soyez un responsable commercial ou un responsable de la production, un bon leader doit avant tout avoir une vision du métier. Dans la vente, il est par exemple conseillé de miser sur l’écoute des clients et d’améliorer vos différentes offres. En somme, vous devez vous fixer une vision claire que vous allez ensuite communiquer à vos collaborateurs.

Ne pas trop se fier aux perceptions

La perception ici est l’expression ou l’interprétation de ce que vous pensez voir. Dans la réalité, certaines personnes mélangent souvent tout. Ne pas trop vous appuyer à vos perceptions est donc un exercice qui va vous aider à penser autrement au quotidien et surtout en ce qui concerne les relations professionnelles. Il convient que vous utilisez votre sens de l’observation pour ne pas vous tromper face aux interprétations.

Savoir écouter vos collaborateurs

En tant que leader, vous devez travailler sur votre confiance en soi et aussi envers les autres. Un leader trop autoritaire se heurte souvent aux problèmes de relation avec ses collaborateurs parce qu’il ne va pas déléguer assez et réduit la confiance envers ses employés. Le manager se limite souvent à se demander sur comment faire les choses. En revanche, le leader cherche les raisons qui peuvent expliquer pourquoi il faut faire un travail donné afin d’arriver à libérer l’énergie.

Etre proactif

Si vous souhaitez vous affirmer en tant que leader, pensez à tirer votre légitimité d’une expertise dans un domaine ou dans la gestion humaine. Tout comme les coachs sportifs, vous devez savoir motiver et gérer votre équipe. Pour être reconnu en tant que leader, il n’y a pas 36 solutions, seule l’action paye. Le leader proactif doit être capable d’initier des changements si nécessaire.

Savoir s’affirmer lors d’un entretien d’embauche

L’une des grandes erreurs des candidats surtout pour un poste nécessitant du leadership, c’est de ne pas affirmer leurs caractères de leader en entretien d’embauche. Le recruteur s’attend souvent à ce que vous montriez votre potentiel. Pour dire à votre interlocuteur que vous êtes le bon candidat, il est nécessaire par exemple de parler de votre travail d’équipe, d’assurer une fluidité dans les échanges ou de savoir déléguer efficacement des tâches à vos collaborateurs.

Au cœur du marketing de réseau

Ce qui est vraiment formidable avec le marketing de réseau, c’est que tout le monde a les mêmes chances de réussite. Ce n’est pas la quantité de diplômes qui garantit le succès ni la présentation d’une personne. N’importe qui prêt à travailler dur et persévérant peut très bien gagner sa vie en faisant du marketing de réseau ou MLM. Pour tout dire, c’est sans doute la seule et unique entreprise qui offre des conditions similaires pour tous. Maintenant que vous voulez essayer le marketing de réseau, la première chose à faire est d’étudier, d’écouter ce que disent ceux qui y ont réussi. Si vous vous laissez coacher convenablement, si vous tenez compte des conseils et astuces que vous donnent les entreprises et les distributeurs qui ont tracé la voie, vous allez vous aussi réussir. C’est plutôt simple : copiez les stratégies qui marchent et tout ira pour le mieux ! La deuxième chose à faire en marketing relationnel c’est d’y croire très fort. Si vous vous imaginez réussir, si vous vous en donnez les moyens parce que c’est votre rêve d’arriver au sommet, il n’y a pas de raisons pour que vous n’atteigniez pas votre but.

En marketing de réseau, il faut travailler d’arrache-pied

Est-ce que cela vous décourage-t-il d’apprendre qu’en marketing de réseau, vous devriez travailler avec acharnement ? En fait, on n’obtient rien sans effort. Comme le note Marketing de réseau, pour être à la tête d’une équipe et gagner votre vie tout en restant chez vous, il va falloir se lever tôt et vous coucher tard. Mais rassurez-vous, plus vous aurez de filleuls qui eux, à leur tour, vont en avoir aussi (et ainsi de suite), plus vous percevrez des pourcentages des ventes que tout ce beau monde aura réalisé. Puis, avec le temps, lorsque votre équipe sera suffisamment grande, vous aurez moins de travail à faire, vous aurez plus de temps pour vous, vous gérerez vous-même votre emploi du temps, vos revenus continueront à tomber dans votre escarcelle. Donc, même si au début, vous voudriez faire du network marketing une activité à mi-temps, peut-être que vous aurez envie de vous y consacrer pleinement au bout de quelques mois. Lorsque vous comprendrez et verrez qu’il y a énormément d’argent à se faire dans le MLM. De vous-même, vous souhaiterez vous y investir davantage. Pour dire les choses simplement, si vous désirez faire fortune, devenir riche grâce au marketing de réseau, cela ne tient qu’à vous.

Les études en lettres étrangères

Si l’étude de langue a pour but de se spécialiser dans une langue étrangère, alors le diplôme obtenu à la fin du cursus sera la licence LLCER. Il s’agit d’une spécialisation dans le domaine de la littérature et qui aboutit sur le concours du Certificat d’Aptitude au Professorat de l’Enseignement du Second Degré.
Durant ce parcours de licence, l’élève acquerra des connaissances linguistiques telles que la grammaire ou la compréhension, mais aussi des notions en littérature et en civilisation autour de cette langue. L’obtention de ce diplôme débouche sur les métiers de traduction et d’enseignement. Le niveau sera plus élevé en master ce qui permettra à la personne de se spécialiser dans la formation et l’enseignement supérieur.

Les études de lettres visant les entreprises

Les études de langue ouvrent également des voies dans les métiers au sein des entreprises. La différence, c’est que le cursus universitaire portera sur la maitrise de deux langues sur le même niveau. Il est à savoir que toutes les combinaisons de langues possibles sont autorisées.
La filière orientée vers les entreprises est la LEA ou Langues Etrangères Appliquées. La grande majorité des études sera ciblée sur l’utilisation des deux langues dans le contexte du travail en entreprise. Une fois la licence professionnelle obtenue, il sera alors possible de travailler dans le commerce international ou le tourisme.